LE TOUR DU NET EN QUESTIONS
Statistiques Internet



Accueil Références Remerciements

Accès DSL Autres accès Fournisseurs d'accès Backbone Adresses IP Protocoles

Noms de domaine DNS Applications Web Statistiques Gouvernance
Cliquer sur les liens ci-dessus pour visualiser les différentes pages du site.


Cette page regroupe un ensemble de statistiques concernant les différents aspects du réseau Internet : les accès Internet (bas débit, haut débit, dégroupage), les fournisseurs d'accès Internet, les internautes (nombre, langue, comportement), les adresses IP, les noms de domaine (nombre de noms et nombre de stations), le DNS, la messagerie électronique, et enfin le Web (serveurs, navigateurs, sites, pages Web, moteurs de recherche, termes de recherche).


  1. Haut de page

    ACCÈS INTERNET

  2. Combien y a-t-il d'accès Internet en France en bas débit, en haut débit ? Quels chiffres d'affaires cela représente-t-il ?

    L'ARCEP réalise depuis l'an 2000 un observatoire trimestriel du marché des services de communications électroniques en France. Le chapitre 2.2 est consacré aux services Internet :
    http://www.arcep.fr/index.php?id=9057#12246 (2ème trimestre 2006)
    Les résultats concernent les revenus générés et les abonnements. Ils distinguent les accès bas débit (forfait, "pay as you go"), haut débit (xDSL, câble, autres technologies) et les autres services (hébergement, publicité en ligne). Dans le cas du bas débit, ils indiquent également les volumes en millions de minutes.
    À quel moment le parc d'accès haut débit a-t-il dépassé celui du bas débit en France ?
    La courbe représentant le volume des communications Internet bas débit, corrigé des variations saisonnières (CVS), permet de noter leur caractère saisonnier (baisse en été), et d'observer leur tendance générale (série désaisonnalisée). En quelle année ce volume CVS a-t-il connu son maximum ?
    Depuis le premier trimestre 2004, les données sur les revenus et les volumes prennent en compte l'ensemble des fournisseurs d'accès Internet (nouveau cadre réglementaire). Auparavant, ils ne prenaient en compte que les opérateurs licenciés auprès de l'ARCEP, ce qui incluait les revenus des offres de gros de ces opérateurs à l'attention des FAI, mais pas la valeur ajoutée par les FAI qui ne sont pas opérateurs licenciés.

    Des informations concernant la voix sur IP peuvent être trouvées dans le chapitre 2.1 consacré à la téléphonie fixe :
    http://www.arcep.fr/index.php?id=9057#12241
    L'ARCEP étudie depuis 2005 le nombre d'abonnements au service téléphonique (ligne analogique ou numérique, câble, BLR, voix sur IP), et non plus le nombre de lignes fixes supportant le service téléphonique comme auparavant. Le nombre d'abonnements voix est supérieur au nombre de lignes fixes : une même ligne analogique peut en effet supporter simultanément un abonnement RTC et un abonnement voix sur IP.
    D'autres résultats concernent le nombre de lignes dégroupées (dégroupage partiel et total).
    Les tableaux du chapitre 2.1.2 indiquent les revenus et les volumes liés aux services de voix sur IP (17% du trafic des lignes fixes).

    Le chapitre 2.5 fournit également un certain nombre d'indicateurs par client :
    http://www.arcep.fr/index.php?id=9057#12258
    Les tableaux et figures permettent d'obtenir :

    L'ARCEP réalise également depuis juin 2005 un observatoire trimestriel du haut débit en France. En voici les derniers résultats :
    http://www.arcep.fr/index.php?id=9092 (3ème trimestre 2006)
    L'étude indique le nombre d'abonnements haut débit, au total et par technologie d'accès utilisée : xDSL, câble ou autres (fibre optique, hertzien...).
    Ces statistiques sont obtenues par enquête auprès des principaux fournisseurs d'accès Internet. Les données transmises par les FAI sont complétées par une estimation des non-réponses.
    Les chiffres présentés sont des résultats provisoires, les résultats définitifs étant publiés lors du prochain Observatoire des marchés.
    Cet observatoire remplace l'observatoire trimestriel du marché de l'Internet en France, publié antérieurement (début 2004 à juin 2005).

    Enfin, l'ARCEP fournit depuis le 1er trimestre 2000 des séries chronologiques trimestrielles de l'observatoire des marchés, sous forme de fichiers Excel :
    http://www.art-telecom.fr/index.php?id=7378
    Ces séries comportent un volet correspondant aux indicateurs physiques (volumes et parcs), et un autre correspondant aux indicateurs de revenus.
    Concernant les accès Internet, on y retrouve l'évolution dans le temps du nombre d'abonnements (bas débit, haut débit selon la technologie d'accès), du volume en millions de minutes (pour le bas débit), du nombre de lignes dégroupées (en dégroupage partiel et total) et du revenu généré (bas débit, haut débit). Comme indiqué précédemment, les revenus étaient calculés par rapport aux opérateurs autorisés seulement jusqu'en 2004, puis sur l'ensemble des FAI.

    Les statistiques de l'AFA (Association des Fournisseurs d'Accès et de Services Internet) ne sont désormais plus disponibles.

    L'AFORM (Association Française des Opérateurs de Réseaux Multiservices) a fourni jusqu'en juin 2004 des statistiques sur les accès Internet par le câble :
    http://www.aform.org/pages/chiffres_du_cable.php
    Les schémas représentent l'évolution dans le temps du nombre d'abonnés au câble pour les offres de télévision et d'accès Internet haut débit. On trouve ensuite des cartes précisant la part de la population habitant en ville câblée, puis en ville couverte par une offre d'accès Internet par le câble. Les tableaux en bas de page précisent les taux de couverture région par région, puis l'évolution dans le temps du nombre de prises et du nombre d'abonnés par type de service.
    Une autre page précise les taux de couverture de la population par département, pour les accès Internet par le câble :
    http://www.aform.org/pages/cartes.php
    L'AFORM fournit également les chiffres complets par opérateur jusqu'en 2004 (tableaux au format PDF) :
    http://www.aform.org/pages/chiffresoperateurs.php
    Ces tableaux indiquent le nombre de communes couvertes, de prises à terme, de prises commercialisables actuellement, et d'abonnés globalement et par service (TV analogique et numérique, Internet, téléphonie). Les chiffres concernent à la fois les câblo-opérateurs membres de l'AFORM (en rouge et indiqués par un astérisque) et les autres.

  3. Où en est-on du dégroupage de la boucle locale en France ?

    Le tableau de bord du dégroupage et du bistream est publié tous les 3 mois par l'ARCEP :
    http://www.arcep.fr/index.php?id=9090 (novembre 2006)
    Cliquer sur l'image "Progression du nombre de lignes" pour avoir plus de détails sur l'évolution du parc de lignes en dégroupage partiel et total.
    Cliquer sur la carte de France (Déploiement géographique), puis sur les départements souhaités pour obtenir les communes concernées et le nombre de répartiteurs équipés. Noter qu'un répartiteur donné peut couvrir plusieurs communes limitrophes, alors que seule la commune principale est affichée ici.

    Ces graphiques de l'ARCEP illustrent l'intensité de la concurrence sur les différents segments de la chaîne de valeur de l'ADSL en France, début 2004 et 2005 :
    http://www.arcep.fr/observatoire/blr/janvier05/valeurs.gif
    L'ordonnée correspond aux différents segments pris en compte, soit de bas en haut : l'accès à la boucle locale et la collecte régionale, la collecte nationale, et enfin les services d'accès Internet. L'abscisse correspond au nombre d'accès concernés. La couleur orange représente les parts de marché de France Télécom sur chacun de ces segments, la couleur bleue celle des opérateurs et fournisseurs d'accès alternatifs.
    Les disques à droite synthétisent la répartition entre opérateur historique et opérateurs alternatifs sur chacun des segments.

    Enfin, ce tableau de l'ARCEP détaille les types d'accès haut débit en France fin 2002, 2003 et 2004 :
    http://www.arcep.fr/observatoire/blr/janvier05/synthese.gif
    Les chiffres indiquent :

    Concernant le dégroupage par le seul opérateur Free, le site de François04 fournit un grand nombre de statistiques intéressantes :
    http://francois04.free.fr/stats_free.php
    Les graphiques indiquent entre autres :

    Ces statistiques sont obtenues au moyen de mesures journalières des connexions actives (ping ICMP vers les adresses attribuées aux internautes dégroupés), multipliées par un coefficient calculé dynamiquement (de l'ordre de 3-4), afin de prendre en compte le fait que certains postes ne répondent pas aux tests (éteints, munis d'un pare-feu bloquant les requêtes ICMP...).

  4. Comment évolue le taux de couverture de la France en accès DSL ?

    Ces cartes réalisées par l'ORTEL (TACTIS - IDATE) représentent la couverture du territoire français par les offres DSL issues de France Télécom (en vert) ou des opérateurs dégroupeurs (en rouge) sur différentes années :

    Les tableaux à gauche des cartes indiquent les taux de couverture de la population, des entreprises et des administrations en DSL (par FT et par les opérateurs dégroupeurs).

    L'ARCEP fournit également la carte de France des pourcentages de la population en zones dégroupées, par département, en juillet 2004 :
    http://www.arcep.fr/observatoire/blr/juillet04/carte-deg0704.htm


  5. Où se situe la France par rapport aux autres pays dans le domaine du DSL et du dégroupage ?

    Une étude de l'ARCEP publiée début 2005 indique l'évolution dans le temps du taux de pénétration des technologies DSL (pourcentage des lignes téléphoniques équipées en DSL) dans l'Europe des 15 :
    http://www.arcep.fr/observatoire/blr/janvier05/parc_dsl.gif

    Cette même étude fournit l'évolution dans le temps du pourcentage de lignes DSL qui sont dégroupées dans l'Europe des 15 (en dégroupage partiel et total) :
    http://www.arcep.fr/observatoire/blr/janvier05/d%E9groupage.gif

    Voici également une étude de l'ARCEP de mars 2004 sur le haut débit en Europe :
    http://www.arcep.fr/dossiers/degroup/comparaison/corps.htm
    L'étude présente la croissance et les taux de pénétration du haut débit dans les différents pays d'Europe, puis indique pays par pays les parts des différentes technologies d'accès (ADSL par l'opérateur historique, ADSL dégroupé, câble et autres technologies). L'étude se termine avec les tarifs du dégroupage (partiel et total) et les parts de marché de l'opérateur historique sur les accès Internet haut débit.

    Enfin, le site "Internet World Stats" présente un classement des pays du monde avec le plus grand nombre d'abonnés DSL :
    http://www.internetworldstats.com/dsl.htm
    Les chiffres sont issus des études du "DSL Forum" et de "Point Topic".


    Haut de page

    FOURNISSEURS D'ACCÈS INTERNET

  6. Quelles sont les parts de marché des fournisseurs d'accès Internet en France ?

    La société EverTEST propose une description régulièrement actualisée du marché de l'Internet français, compilée au moyen de différentes sources (ARCEP, AFA, AFORM) :
    http://www.evertest.com/FR__l_internet_en_france_5.html
    Les figures représentent successivement les parts de marché des technologies d'accès (bas débit, ADSL, câble), puis celles des fournisseurs d'accès haut débit (ADSL+câble, ADSL seul, câble seul).
    Cette société propose des services de supervision de sites Web, basés sur des tests automatisés à partir d'un panel d'internautes virtuels conformément au marché français.

  7. Comment évoluent les tarifs des accès Internet ?

    Le site TooSurToo présente un graphique de l'évolution des tarifs des accès ADSL depuis 1999 :
    http://offres-adsl.toosurtoo.com/indices/evolution-prix.html
    Les tarifs représentés sont ceux de la meilleure offre existante pour des accès 512 Kbps. Le tableau en-dessous indique, trimestre par trimestre, quel FAI proposait cette meilleure offre. Les offres 512 Kbps ont pratiquement disparu aujourd'hui au profit de débits plus élevés.


    Haut de page

    INTERNAUTES

  8. Combien y a-t-il d'internautes dans le monde ? Dans chaque continent ? Dans chaque pays ?

    Les statistiques sur le nombre d'internautes s'obtiennent généralement au moyen de sondages, visant  à déterminer le nombre d'individus ayant un certain âge minimum, et ayant accédé à Internet au cours des derniers mois. L'âge minimum et la durée varient selon les études, qui peuvent donc fournir des résultats différents. D'où la citation anglaise parfois citée : "There are three types of lies - lies, damn lies, and statistics".
    D'autre part, les statistiques sur le nombre d'internautes diffèrent de celles sur les accès Internet. En effet, un accès Internet dans un foyer peut être utilisé par plusieurs personnes, de même que certaines personnes peuvent accéder à Internet sur leur lieu de travail, dans un cybercafé ou ailleurs.

    Le site "Internet World Stats" regroupe un ensemble de statistiques sur l'usage d'Internet dans les différents pays du monde, obtenues de différentes sources (Nielsen//NetRatings, ITU, Computer Industry Almanac, CIA Fact Book, NIC locaux, FAI locaux...).
    Cette page intitulée "The Big Picture" présente les statistiques par continent :
    http://www.internetworldstats.com/stats.htm
    Le tableau indique le nombre d'internautes par région du monde avec son taux de croissance, ainsi que le taux de pénétration par rapport à la population.
    Cliquer sur une région pour avoir les statistiques par pays de cette région.
    Cliquer ensuite sur un pays pour avoir les détails correspondants (population, superficie, capitale, PNB par habitant, nombre d'internautes et pénétration), ainsi qu'un lien vers une carte. Le nombre d'abonnés haut débit et le nombre de FAI sont également indiqués, si ces informations sont disponibles. Enfin, la source et la date des différentes informations sont précisées.
    Ce site présente aussi quelques classements :

    Voici également l'évolution depuis 1995 du nombre d'internautes dans le monde et du taux de pénétration mondial :
    http://www.internetworldstats.com/emarketing.htm#stats

    De manière analogue, le site "ClickZ Stats" compile différentes estimations, pays par pays, sur cette page intitulée "Population Explosion!" :
    http://www.clickz.com/stats/web_worldwide/article.php/151151
    Le tableau présente, pour chaque pays, la population, le nombre d'internautes, le nombre d'internautes actifs et le nombre de fournisseurs d'accès Internet, obtenus par différentes sources (statistiques de Nielsen//NetRatings et de "Computer Industry Almanac", chiffres de la CIA).

    Enfin, la société NUA a fourni des statistiques similaires jusqu'en septembre 2002. La page intitulée "How Many Online?" présente l'usage d'Internet par région du monde à cette date :
    http://www.nua.ie/surveys/how_many_online/index.html
    Cliquer sur les liens pour obtenir l'évolution au cours des ans de l'usage d'Internet dans chacun des pays (nombre d'internautes et taux de pénétration).


  9. Quel est le pourcentage d'internautes dans le monde qui parlent le français, l'anglais ?

    La société "Global Reach" fournit un ensemble de statistiques sur les langues parlées par les internautes.
    Cette figure synthétique représente la distribution des internautes selon leur langue, pour les principales :
    http://global-reach.biz/globstats/chart.gif
    Les détails sur l'ensemble des langues recensées peuvent être obtenus dans ce tableau :
    http://www.glreach.com/globstats/
    Les colonnes indiquent, pour chaque langue, le nombre d'internautes concernés (en millions), le pourcentage des internautes qui parlent cette langue, la population totale qui parle cette langue (en millions), le PNB correspondant (en millions de $), le pourcentage de l'économie mondiale correspondant, le PNB par personne (en milliers de $), et le nombre de stations (hosts) correspondant aux pays parlant la langue. Observer la similitude des pourcentages concernant la langue et l'économie...
    La matrice complète pays/langage peut être obtenue ici : http://global-reach.biz/globstats/details.html
    Enfin, voici l'évolution des internautes non anglophones depuis 1996 : http://global-reach.biz/globstats/evol.gif

    Le site "Internet World Stats" présente un classement des langues les plus utilisées par les internautes :
    http://www.internetworldstats.com/stats7.htm
    Les colonnes indiquent, pour chaque langue, le nombre d'internautes parlant cette langue, la pénétration d'Internet dans la population concernée, la population totale parlant cette langue, et enfin le pourcentage des internautes dans le monde qui parlent cette langue.

  10. Quel est le comportement des internautes ?

    Voici les statistiques mensuelles de Nielsen//NetRatings sur l'usage d'Internet :

    Les données concernent le nombre mensuel de connexions Internet, de pages Web visitées, le temps passé en surf, le temps de lecture de chaque page, etc.

    Cette étude de XiTi Monitor donne également un certain nombre d'informations sur les habitudes de navigation des internautes :
    http://www.xitimonitor.com/etudes/interet3.asp
    L'étude a porté sur un échantillon de 2 000 sites Web observés sur une année entière 2004/2005. Les figures représentent les horaires de surf (globalement et par jour de la semaine), les parts de visites par jour de la semaine, ainsi que la durée de visite et le nombre de pages vues par jour de la semaine.
    Observer le pic de connexion de 18 h, et le jour le plus long en terme de navigation Web : le lundi.

  11. Le taux d'utilisation d'Internet est-il plus élevé en Guyane ou en Rhône-Alpes ?

    Cette étude réalisée par XiTi Monitor en juin 2005 présente le taux d'utilisation d'Internet de chaque région française, rapporté au nombre d'habitants :
    http://www.xitimonitor.com/etudes/equipement9.asp?xtor=6
    Comme on peut le constater, elle réserve quelques surprises...


    Haut de page

    ADRESSES IP

  12. Quelles sont les sociétés qui possèdent le plus d'adresses IP ? Quels sont les pays qui possèdent le plus d'adresses IP ?

    Le site FixedOrbit fournit un classement des opérateurs mondiaux par nombre d'adresses IP contrôlées et par nombre de peerings, ainsi qu'un classement des pays par adresses IP contrôlées :
    http://www.fixedorbit.com/stats.htm
    Cliquer sur les liens "ASN" ou "description" pour avoir plus d'informations sur chaque société. Quelle entité possède le plus d'adresses IP ?
    On remarquera que cette entité ne fait pas partie des sociétés les plus connectées (et pour cause...).
    Quel pourcentage des adresses IPv4 est-il alloué aux États-Unis ? À la France ?

  13. Mais plus précisément, combien d'adresses IP contrôlent les États-Unis ? La France ? Les autres pays du monde ?

    Le site "Whois Source" donne des statistiques sur la distribution des adresses IPv4 entre les différents pays du monde :
    http://www.whois.sc/internet-statistics/country-ip-counts.html?s=total&o=d (pays classés par nombre d'adresses décroissant)
    Cliquer sur le lien "Country" pour obtenir la même liste classée par ordre alphabétique des pays.
    Y a-t-il plus d'adresses rattachées à l'Afghanistan ou à l'Irak ?

    Les données officielles d'allocation des adresses IP aux différents pays peuvent être obtenues sous un format brut, sur les serveurs FTP des différents registres continentaux d'adresses :

    Ces fichiers précisent les allocations d'adresses IPv4, IPv6 et de numéros de système autonome (ASN) aux différents pays du monde.
    Les lignes correspondant aux adresses IPv4 indiquent le pays recevant l'allocation (représenté par son code ISO à 2 caractères), la plage d'adresses allouée par le registre (adresse de début et nombre d'adresses), et la date d'allocation (année-mois-jour).
    Les lignes correspondant aux adresses IPv6 contiennent un préfixe (notation CIDR) au lieu du nombre d'adresses qui serait exorbitant.
    Les lignes correspondant aux numéros de système autonome contiennent la plage de numéros alloués (premier numéro d'AS et nombre d'AS successifs), en général constituée d'un numéro unique.

  14. Les adresses IP sont-elles équitablement réparties entre les pays et entre les continents ?

    Voici une étude fascinante de l'association CAIDA sur la fracture numérique mondiale :
    http://www.caida.org/analysis/geopolitical/bgp2country/
    La figure représente la répartition entre les régions du monde de différentes ressources (population, PIB, adresses IPv4 et IPv6, fournisseurs d'accès Internet et opérateurs de backbones...). Les données utilisées datent de 2001.
    Cliquer sur l'image pour avoir plus de détails et comprendre le schéma (une ligne par ressource, une couleur par continent).
    Revenir à la page précédente pour avoir une vue d'ensemble, et comparer en particulier les lignes 1 (population), 5 (adresses IPv4) et la dernière ligne (adresses IPv6).
    Que remarque-t-on entre IPv4 et IPv6 ?

    Le RIPE NCC maintient une page de statistiques concernant l'allocation des adresses IPv6 par les registres continentaux d'adresses (APNIC, ARIN, LACNIC et RIPE NCC) :
    http://www.ripe.net/rs/ipv6/stats/
    Les figures représentent la répartition des préfixes IPv6 alloués, en nombre de préfixes puis en nombre d'adresses. La liste en bas de page permet d'observer les derniers préfixes IPv6 alloués (pays, FAI, plage d'adresses et date d'allocation).
    Noter que la suprématie n'est plus nord-américaine dans le cas d'IPv6 !


    Haut de page

    NOMS DE DOMAINE

  15. Quels sont les suffixes qui contiennent le plus de noms de domaine ?

    Le site DomainesInfo fournit tous les semestres un hit-parade des noms de domaine enregistrés dans le monde, basé sur les informations fournies par les registres d'extensions (classement général, extensions génériques et nationales). Voici le dernier en date (février 2007) :
    http://www.domainesinfo.fr/actualite/441/statistiques-mondiales-des-noms-de-domaine.php

    Attention : les statistiques fournies par le site "www.domainworldwide.com" parfois cité ne sont plus mises à jour depuis des années, bien que ce site affiche la date du jour en haut de page...

  16. Quels sont les suffixes qui contiennent le plus de stations ?

    L'ISC (Internet Systems Consortium) produit tous les 6 mois, depuis 1987, une étude sur le nombre total de stations, et leur distribution entre les différentes extensions (Internet Domain Survey). L'étude consiste, de manière simplifiée, à interroger les serveurs DNS pour savoir si un nom de domaine est associé à chaque adresse IP possible. Des optimisations permettent cependant de ne pas effectuer cette recherche sur les 4,3 milliards d'adresses potentielles.
    Voici les résultats de janvier 2005 (colonne "Hosts") :
    http://www.isc.org/index.pl?/ops/ds/reports/2005-01/dist-bynum.php
    Combien de stations contient .ZR (Zaïre) ? Pourquoi ?
    Noter que le classement par le nombre de stations est très différent du classement par le nombre de noms de domaine vu précédemment. Il n'est pas vraiment étonnant que le .COM (sociétés commerciales) ait le record en nombre de noms (noms commerciaux, marques...), et le .NET (opérateurs) en nombre de stations (routeurs, serveurs...).

  17. Comment le nombre de noms de domaine évolue-t-il ?

    Graphe de RegistrarStats concernant les principaux domaines génériques :
    http://www.registrarstats.com/zonefile_enlarged.asp
    Attention aux unités (échelle de gauche en millions de noms pour .COM, échelle de droite en milliers de noms pour .NET/.ORG/.INFO/.BIZ/.US).
    Observer l'envolée du .INFO à l'automne 2004 suite à une opération promotionnelle de son registre Afilias (enregistrement gratuit de septembre à décembre 2004 pour les registrars, dans la limite de 25 noms par propriétaire).

  18. Comment le nombre total de stations évolue-t-il ?

    Graphe sur le site de l'ISC :
    http://www.isc.org/ops/ds/hosts.png
    Le détail des chiffres issus des études de l'ISC :
    http://www.isc.org/index.pl?/ops/ds/host-count-history.php

  19. Quels sont les noms de station les plus utilisés aujourd'hui ? Quels étaient-ils en 1995 ?

    Le "Top 100" des noms de station par l'ISC :
    http://www.isc.org/index.pl?/ops/ds/reports/2005-01/firstnames.phpp

    Ce même classement en juillet 1995 :
    http://www.isc.org/ops/ds/archive-data/9507.firstnames.gz
    Observer la disparition des planètes...

  20. Quel est le plus long nom de domaine ? Et quel est le plus court ?

    La taille maximale des noms de domaine est en général de 67 caractères en incluant le suffixe (elle était de 26 caractères jusqu'en 1999). La réservation de noms très longs est donc possible.
    Voici un site qui revendique d'être le plus long nom de domaine en un seul mot (sans tiret) :
    http://www.llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch.com/ (62 caractères)
    Comme expliqué sur le site, il s'agit d'un village du pays de Galles, qui possède le plus long nom de localité du Royaume-Uni et le troisième plus long nom de localité dans le monde. Voici quelques informations sur le village, obtenues dans l'encyclopédie libre Wikipédia (photo, signification du nom et prononciation) :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch
    Il y a ensuite eu surenchère avec d'autres sites, tel que celui-ci :
    http://www.llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwyll-llantysiliogogogoch.com/ (64 caractères : cherchez les différences avec le précédent...)
    Ce site propose d'envoyer un mail à un ami à partir du "plus long nom de domaine du monde".
    Mais voici le record (ou l'un des records) :
    http://www.gooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooogle.com/ (67 caractères : le maximum autorisé !)
    Noooöööooo coooöööooomment...

    Quant aux plus petits noms de domaine, la plupart des registres imposent des noms d'au moins 2 ou 3 caractères. Il existe ainsi très peu de noms à 1 caractère, déposés avant ces limitations, et cités sur cette page :
    http://www.llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch.com/very-short-names.htm
    Regardez ce qui se cache derrière le Z.

  21. Combien y a-t-il de noms enregistrés dans le domaine .FR ? Et comment sont-ils répartis entre les sous-domaines de .FR ?

    Le nombre total de domaines enregistrés sous .FR et son évolution dans le temps :
    http://www.afnic.fr/actu/stats/evolution
    Observer la conséquence de l'ouverture de la zone .FR le 11 mai 2004...
    Voici d'ailleurs les statistiques précises au moment de l'ouverture, avec les noms les plus demandés :
    http://www.afnic.fr/actu/nouvelles/nommage/CP20040525 (tableau en bas de page)

    Le détail de leur répartition entre les sous-domaines publics et les sous-domaines sectoriels :
    http://www.afnic.fr/actu/stats/domaines
    http://www.afnic.fr/actu/stats/domaines/autres

    De l'impact des offres promotionnelles temporaires sur les statistiques... (l'enregistrement sous .NOM.FR était gratuit du 1er au 31 décembre 2000) :
    http://www.afnic.fr/actu/stats/domaines/courbe/nom.fr

  22. Combien de noms de domaine ont-ils fait l'objet d'une procédure de résolution des litiges UDRP ? Et quelle est la décision la plus fréquente à l'issue de cette procédure ?

    Voici les statistiques de l'ICANN concernant les litiges traités selon la procédure UDRP :
    http://www.icann.org/udrp/proceedings-stat.htm
    Les procédures sont classées en 4 catégories : procédures suspendues ou en cours, procédures ayant fait l'objet d'une décision, procédures n'ayant pas fait l'objet d'une décision, et procédures à renouveler. Les chiffres représentent le nombre de procédures et le nombre de noms de domaine (une procédure pouvant impliquer plusieurs noms).
    Parmi les procédures ayant fait l'objet d'une décision, quelle est la décision majoritaire : transfert ou radiation du nom (en faveur du requérant), ou décision en faveur du défendeur ?

    Le site d'information DomainesInfo publie également des "chiffres clés de l'UDRP" en date de décembre 2004 :
    http://www.domaines.info/article.php?art_id=519
    Ces chiffres indiquent :

    L'OMPI fournit également des statistiques concernant les litiges qu'elle traite elle-même :
    http://arbiter.wipo.int/domains/statistics/cumulative/results-fr.html
    Les tableaux indiquent le nombre de plaintes déposées par année (avec leur répartition entre domaines génériques et domaines par codes de pays), et les décisions prises cumulées.
    La majorité des litiges provient-elle des gTLD ou des ccTLD ?

    L'OMPI fournit enfin la répartition géographique des parties (plaignant ou défendeur) :

    Deviner quel est le pays le plus impliqué dans les litiges sur les noms de domaine ?


    Haut de page

    DNS

  23. Quel est le logiciel de serveur DNS le plus utilisé dans le monde ?

    Statistiques de l'ISC (Internet Systems Consortium), organisme qui développe le logiciel BIND :
    http://www.isc.org/index.pl?/ops/ds/reports/2005-01/dist-servsoft.php


    Haut de page

    MESSAGERIE ÉLECTRONIQUE

  24. Quels sont les serveurs de messagerie les plus utilisés dans le monde ?

    Le site "FalkoTimme.com" effectue des études régulières concernant les parts de marché des serveurs de mail :
    http://www.falkotimme.com/projects/survey_smtp.php?id=170
    Choisir la dernière enquête disponible. Observer les résultats globaux, puis sur la France seule (choisir le pays en haut de la page).
    L'outil scanne un ensemble prédéfini d'adresses IP appartenant à des sociétés d'hébergement, de manière à déterminer si un serveur de mail se trouve à chacune de ces adresses et quel logiciel il utilise. L'échantillon d'adresses IP n'est pas nécessairement représentatif.


    Haut de page

    WEB

  25. Quels sont les logiciels de serveurs Web les plus utilisés dans le monde ?

    La société Netcraft produit tous les mois, depuis 1995, une étude nommée "Web Server Survey". Cette étude permet entre autre de suivre l'évolution des parts de marché des différents logiciels de serveurs Web :
    http://news.netcraft.com/archives/web_server_survey.html
    La figure du bas ("Market Share for Top Servers Across All Domains") représente les parts de marché des principaux éditeurs de serveurs Web : Apache, Microsoft, Sun, Zeus...
    Noter la position largement dominante du logiciel Open Source Apache.
    HTTPd est le serveur historique développé par le NCSA ("National Center for Supercomputing Applications") à l'Université de l'Illinois. Le NCSA est également à l'origine du premier navigateur Web de l'histoire, Mosaic. Par ailleurs, la première version d'Apache était basée sur le code source de HTTPd, en y incluant un ensemble de patchs (d'où le nom Apache d'après la légende...).

    La page suivante donne le détail, mois par mois, de l'ensemble des logiciels utilisés par les sites Web :
    http://www.netcraft.com/Survey/Reports/
    Cliquer sur les liens correspondant au mois en cours pour afficher les parts de marché pour les sites toutes extensions confondues (lien "Index"), ou pour des extensions spécifiques, génériques ou nationales (liens "com" et suivants).

  26. Quels sont les navigateurs Web les plus utilisés dans le monde ?

    Le portail W3 Schools présente des statistiques mois par mois sur les clients Web (navigateur, OS, résolution d'écran, nombre de couleurs, activation de JavaScript) :
    http://www.w3schools.com/browsers/browsers_stats.asp
    Noter la position largement dominante du navigateur Internet Explorer et du système d'exploitation Windows, mais aussi la montée en puissance du logiciel Open Source "Mozilla / Firefox".

    Les chiffres clés publiés tous les mois par La revue du référencement (@position/Médiamétrie-eStat) fournissent également une estimation de l'usage des navigateurs Web et des systèmes d'exploitation, sur un panel de sites audités :
    http://www.revue-referencement.com/ (colonne à droite)

    Le site XiTi Monitor publie régulièrement les pourcentages d'utilisation de Firefox en Europe :
    http://www.xitimonitor.com/etudes/equipement13.asp (janvier 2006)
    Cette étude précise la pénétration de Firefox par continent, ainsi que l'influence du lieu d'utilisation sur ces chiffres (bureau / domicile).

  27. Combien y a-t-il de sites Web dans le monde ?

    L'étude mensuelle "Web Server Survey" de la société Netcraft permet de suivre également l'évolution du nombre de sites Web dans le monde :
    http://news.netcraft.com/archives/web_server_survey.html
    La figure du haut ("Total Sites Across All Domains") représente cette  évolution en distinguant le nombre total de sites observés (courbe "Hostnames") et le nombre de sites actifs (courbe "Active"). Les sites dits "actifs" contiennent un contenu spécifique. Les sites dits "inactifs" correspondent, soit à des redirections (par exemple "www.netcraft.net" redirige vers "www.netcraft.com"), soit à des pages prototypes (templates) affichées par les hébergeurs Web dans l'attente d'un contenu spécifique de leurs clients.
    Noter la proportion importante de sites inactifs.

  28. Quels sont les sites Web de langue française les plus populaires ?

    Le top 100 des sites en français selon la société Alexa :
    http://www.alexa.com/site/ds/top_sites?ts_mode=lang&lang=fr
    Pour un site donné, cliquer sur "Site info", puis sur "See Traffic Details" pour obtenir les statistiques de ce site (estimation du trafic journalier, pages les plus visitées, nombre de visiteurs et nombre de pages visualisées par chacun).
    Également disponible dans de nombreuses autres langues, ainsi qu'un classement des sites Web par thème (cliquer sur l'un des liens à gauche).
    Ces statistiques sont obtenues par observation du comportement des internautes qui ont téléchargé la barre d'outils Alexa dans leur navigateur Web.

  29. Quelle est la taille du Web ?

    L'estimation était de 3 milliards de pages Web en 2002 (résultats de plusieurs études citées sur le site Abondance.com) :
    http://docs.abondance.com/question10.html

    On peut également observer le nombre de pages indexées par les moteurs de recherche.
    Google a longtemps affiché une estimation en temps réel en bas de sa page d'accueil, avant d'arrêter en septembre 2005 avec 8 168 684 336 pages.
    Voici la liste des valeurs affichées de 2000 à 2004, compilée par le blog Zorgloob :
    http://www.zorgloob.com/2004/11/8-058-044-651-pages-indexes-par-google.asp
    Par ailleurs, Yahoo! annonçait en août 2005 un index de 20 milliards de pages Web.

    Ces chiffres ne mesurent cependant que le "Web de surface", indexé par les moteurs de recherche. Quant au "Web de profondeur" auquel les moteurs de recherche ne peuvent accéder automatiquement (contenu dynamique provenant de bases de données, contenu protégé par mot de passe, etc.), il serait environ 500 fois plus gros, d'après les estimations de la société BrightPlanet...
    http://www.brightplanet.com/deepcontent/deep_web_faq.asp#DeepWebSize

    L'étude "How Much Information? 2003" du SIMS (School of Information Management and Systems, University of California at Berkeley) donne une estimation de la taille du Web de surface et de profondeur, ainsi que des E-mails et de la messagerie instantanée :
    http://www.sims.berkeley.edu/research/projects/how-much-info-2003/internet.htm
    La même étude décrit la composition du Web de surface selon le type de document (HTML, images, PDF, scripts...) :
    http://www.sims.berkeley.edu/research/projects/how-much-info-2003/images/web_by_size.jpg

  30. Quel est le pourcentage de pages Web en français, en anglais ?

    Voici une classification par langage du contenu du Web (statistique 2001 de Vilaweb.com, portant sur les 313 milliards de pages Web estimées à l'époque) :
    http://www.translate-to-success.com/online-language-web-site-content.html

  31. Quels sont les moteurs de recherche les plus utilisés en France ?

    Plusieurs sociétés d'audit de sites Web proposent des statistiques concernant l'usage des moteurs de recherche, basées sur les mesures d'audience d'un panel de sites audités.

    La société Abondance présente un baromètre mensuel des moteurs de recherche, obtenu au moyen d'un panel de sites audités par Weborama (baromètre Weborama - Takezo/Brioude) :
    http://www.barometre-referencement.com/ (panel global et panel professionnel)
    Voici également le profil des internautes sur chaque moteur de recherche (par sexe, CSP, âge) :
    http://www.barometre-referencement.com/profil_des_internautes.htm

    Le site "Secrets 2 Moteurs" présente le graphique de l'évolution des parts de marché des moteurs de recherche sur un an, compilées au moyen des mesures d'audience de la société XiTi (baromètre XiTi - 1ère Position) :
    http://www.secrets2moteurs.com/barometre.html
    Cliquer sur le dernier mois disponible (le premier de la liste).

    La "Revue du référencement" publie tous les mois un panorama du Web français appelé "chiffres clés", à partir de sites audités par eStat (étude de @position/Médiamétrie-eStat) :
    http://www.revue-referencement.com/chiffres_archives.htm
    Cliquer sur le dernier mois disponible (le premier de la liste). L'étude indique les parts de marché des différents moteurs de recherche et annuaires, ainsi que la répartition moyenne du trafic par type d'accès (accès directs, liens externes et moteurs de recherche).

  32. Le terme de recherche le plus utilisé sur les moteurs de recherche est-il vraiment "sexe" ?

    Certains moteurs de recherche fournissent la liste des mots-clés les plus utilisés par les internautes, sur différentes périodes de temps, et parfois classés par thèmes. Voici quelques exemples dans le cas des moteurs français :

    Dans le cas des moteurs internationaux :

    Enfin, certains moteurs fournissent également des listes de mots-clés de recherche en temps réel :

    Noter qu'à quelques exceptions près, ces listes sont filtrées (termes pornographiques, termes génériques, noms de sociétés...).
    Quant au terme de recherche "sexe", il serait apparemment moins fréquent que ce que l'on dit, les recherches de contenus "adultes" utilisant en général des requêtes plus ciblées.

    Par ailleurs, le portail "LesMoteursDeRecherche.com" permet d'observer l'évolution dans le temps des termes de recherche, puisqu'il propose le "Top 200" entre 2000 et 2004 :
    http://www.lesmoteursderecherche.com/prime500.htm
    Remarquer par exemple la remontée progressive dans les charts des termes "google" et "ebay".


Haut de page
Contact : Patrick Maigron
Dernière mise à jour : 2007-12-05
Document fait avec Nvu