Accueil | Références | Remerciements |
Accès DSL | Autres accès | Fournisseurs d'accès | Backbone | Adresses IP | Protocoles |
Noms de domaine | DNS | Applications | Web | Statistiques | Gouvernance |
Cette page regroupe un ensemble de statistiques concernant les
différents aspects du réseau Internet : les accès
Internet (bas débit, haut débit, dégroupage),
les fournisseurs d'accès
Internet, les internautes (nombre,
langue, comportement), les adresses IP, les
noms de domaine
(nombre de noms et nombre de stations), le DNS, la messagerie
électronique, et enfin le Web (serveurs,
navigateurs, sites, pages Web, moteurs de recherche, termes de
recherche).
|
L'ARCEP réalise depuis l'an 2000 un observatoire trimestriel du
marché des services de communications électroniques en
France. Le chapitre 2.2 est consacré aux services Internet
:
http://www.arcep.fr/index.php?id=9057#12246 (2ème
trimestre 2006)
Les résultats concernent les revenus générés
et les abonnements. Ils distinguent les accès bas débit
(forfait, "pay as you go"), haut débit (xDSL, câble, autres
technologies) et les autres services (hébergement,
publicité en ligne). Dans le cas du bas débit, ils
indiquent également les volumes en millions de minutes.
À quel moment le parc d'accès haut débit a-t-il
dépassé celui du bas débit en France ?
La courbe représentant le volume des communications Internet bas
débit, corrigé des variations saisonnières (CVS),
permet de noter leur caractère saisonnier (baisse en
été), et d'observer leur tendance générale
(série désaisonnalisée). En quelle année ce
volume CVS a-t-il connu son maximum ?
Depuis le premier trimestre 2004, les données sur les revenus et
les volumes prennent en compte l'ensemble des fournisseurs d'accès
Internet (nouveau cadre réglementaire). Auparavant, ils ne
prenaient en compte que les opérateurs licenciés
auprès de l'ARCEP, ce qui incluait les revenus des offres de gros
de ces opérateurs à l'attention des FAI, mais pas la valeur
ajoutée par les FAI qui ne sont pas opérateurs
licenciés.
Des informations concernant la voix sur IP peuvent être
trouvées dans le chapitre 2.1 consacré à la
téléphonie fixe :
http://www.arcep.fr/index.php?id=9057#12241
L'ARCEP étudie depuis 2005 le nombre d'abonnements au service
téléphonique (ligne analogique ou numérique,
câble, BLR, voix sur IP), et non plus le nombre de lignes fixes
supportant le service téléphonique comme auparavant. Le
nombre d'abonnements voix est supérieur au nombre de lignes fixes
: une même ligne analogique peut en effet supporter
simultanément un abonnement RTC et un abonnement voix sur
IP.
D'autres résultats concernent le nombre de lignes
dégroupées (dégroupage partiel et total).
Les tableaux du chapitre 2.1.2 indiquent les revenus et les volumes
liés aux services de voix sur IP (17% du trafic des lignes
fixes).
Le chapitre 2.5 fournit également un certain nombre
d'indicateurs par client :
http://www.arcep.fr/index.php?id=9057#12258
Les tableaux et figures permettent d'obtenir :
L'ARCEP réalise également depuis juin 2005 un
observatoire
trimestriel du haut débit en France. En voici les derniers
résultats :
http://www.arcep.fr/index.php?id=9092 (3ème
trimestre 2006)
L'étude indique le nombre d'abonnements haut débit, au
total et par technologie d'accès utilisée : xDSL,
câble ou autres (fibre optique, hertzien...).
Ces statistiques sont obtenues par enquête auprès des
principaux fournisseurs d'accès Internet. Les données
transmises par les FAI sont complétées par une estimation
des non-réponses.
Les chiffres présentés sont des résultats
provisoires, les résultats définitifs étant
publiés lors du prochain Observatoire des marchés.
Cet observatoire remplace l'observatoire trimestriel du marché de
l'Internet en France, publié antérieurement (début
2004 à juin 2005).
Enfin, l'ARCEP fournit depuis le 1er trimestre 2000 des séries
chronologiques trimestrielles de l'observatoire des
marchés, sous forme de fichiers Excel :
http://www.art-telecom.fr/index.php?id=7378
Ces séries comportent un volet correspondant aux indicateurs
physiques (volumes et parcs), et un autre correspondant aux indicateurs
de revenus.
Concernant les accès Internet, on y retrouve l'évolution
dans le temps du nombre d'abonnements (bas débit, haut
débit selon la technologie d'accès), du volume en millions
de minutes (pour le bas débit), du nombre de lignes
dégroupées (en dégroupage partiel et total) et du
revenu généré (bas débit, haut débit).
Comme indiqué précédemment, les revenus
étaient calculés par rapport aux opérateurs
autorisés seulement jusqu'en 2004, puis sur l'ensemble des
FAI.
Les statistiques de l'AFA (Association des Fournisseurs d'Accès et de Services Internet) ne sont désormais plus disponibles.
L'AFORM
(Association Française des Opérateurs de Réseaux
Multiservices) a fourni jusqu'en juin 2004 des statistiques sur
les accès Internet par le câble :
http://www.aform.org/pages/chiffres_du_cable.php
Les schémas représentent l'évolution dans le temps
du nombre d'abonnés au câble pour les offres de
télévision et d'accès Internet haut débit. On
trouve ensuite des cartes précisant la part de la population
habitant en ville câblée, puis en ville couverte par une
offre d'accès Internet par le câble. Les tableaux en bas de
page précisent les taux de couverture région par
région, puis l'évolution dans le temps du nombre de prises
et du nombre d'abonnés par type de service.
Une autre page précise les taux de couverture de la population par
département, pour les accès Internet par le câble
:
http://www.aform.org/pages/cartes.php
L'AFORM fournit également les chiffres complets par
opérateur jusqu'en 2004 (tableaux au format PDF) :
http://www.aform.org/pages/chiffresoperateurs.php
Ces tableaux indiquent le nombre de communes couvertes, de prises
à terme, de prises commercialisables actuellement, et
d'abonnés globalement et par service (TV analogique et
numérique, Internet, téléphonie). Les chiffres
concernent à la fois les câblo-opérateurs membres de
l'AFORM (en rouge et indiqués par un astérisque) et les
autres.
Le tableau
de bord du dégroupage et du bistream est publié tous
les 3 mois par l'ARCEP :
http://www.arcep.fr/index.php?id=9090 (novembre
2006)
Cliquer sur l'image "Progression du nombre de lignes" pour avoir plus de
détails sur l'évolution du parc de lignes en
dégroupage partiel et total.
Cliquer sur la carte de France (Déploiement géographique),
puis sur les départements souhaités pour obtenir les
communes concernées et le nombre de répartiteurs
équipés. Noter qu'un répartiteur donné peut
couvrir plusieurs communes limitrophes, alors que seule la commune
principale est affichée ici.
Ces graphiques de l'ARCEP illustrent l'intensité de la
concurrence sur les différents segments de la chaîne de
valeur de l'ADSL en France, début 2004 et 2005 :
http://www.arcep.fr/observatoire/blr/janvier05/valeurs.gif
L'ordonnée correspond aux différents segments pris en
compte, soit de bas en haut : l'accès à la boucle locale et
la collecte régionale, la collecte nationale, et enfin les
services d'accès Internet. L'abscisse correspond au nombre
d'accès concernés. La couleur orange représente les
parts de marché de France Télécom sur chacun de ces
segments, la couleur bleue celle des opérateurs et fournisseurs
d'accès alternatifs.
Les disques à droite synthétisent la répartition
entre opérateur historique et opérateurs alternatifs sur
chacun des segments.
Enfin, ce tableau de l'ARCEP détaille les types d'accès
haut débit en France fin 2002, 2003 et 2004 :
http://www.arcep.fr/observatoire/blr/janvier05/synthese.gif
Les chiffres indiquent :
Concernant le dégroupage par le seul opérateur
Free, le
site de François04 fournit un grand nombre de statistiques
intéressantes :
http://francois04.free.fr/stats_free.php
Les graphiques indiquent entre autres :
Ces statistiques sont obtenues au moyen de mesures journalières
des connexions actives (ping ICMP vers les adresses attribuées aux
internautes dégroupés), multipliées par un
coefficient calculé dynamiquement (de l'ordre de 3-4), afin de
prendre en compte le fait que certains postes ne répondent pas aux
tests (éteints, munis d'un pare-feu bloquant les requêtes
ICMP...).
Ces cartes réalisées par l'ORTEL (TACTIS - IDATE) représentent la couverture du territoire français par les offres DSL issues de France Télécom (en vert) ou des opérateurs dégroupeurs (en rouge) sur différentes années :
Les tableaux à gauche des cartes indiquent les taux de
couverture de la population, des entreprises et des administrations en
DSL (par FT et par les opérateurs dégroupeurs).
L'ARCEP fournit également la carte de France des pourcentages
de la population en zones dégroupées, par
département, en juillet 2004 :
http://www.arcep.fr/observatoire/blr/juillet04/carte-deg0704.htm
Une étude de l'ARCEP publiée début 2005 indique
l'évolution dans le temps du taux de pénétration des
technologies DSL (pourcentage des lignes téléphoniques
équipées en DSL) dans l'Europe des 15 :
http://www.arcep.fr/observatoire/blr/janvier05/parc_dsl.gif
Cette même étude fournit l'évolution dans le temps
du pourcentage de lignes DSL qui sont dégroupées dans
l'Europe des 15 (en dégroupage partiel et total) :
http://www.arcep.fr/observatoire/blr/janvier05/d%E9groupage.gif
Voici également une étude de l'ARCEP de mars 2004 sur le
haut débit en Europe :
http://www.arcep.fr/dossiers/degroup/comparaison/corps.htm
L'étude présente la croissance et les taux de
pénétration du haut débit dans les différents
pays d'Europe, puis indique pays par pays les parts des
différentes technologies d'accès (ADSL par
l'opérateur historique, ADSL dégroupé, câble
et autres technologies). L'étude se termine avec les tarifs du
dégroupage (partiel et total) et les parts de marché de
l'opérateur historique sur les accès Internet haut
débit.
Enfin, le site "Internet World Stats" présente un classement
des pays du monde avec le plus grand nombre d'abonnés DSL :
http://www.internetworldstats.com/dsl.htm
Les chiffres sont issus des études du "DSL Forum" et de "Point
Topic".
|
La société EverTEST propose une description
régulièrement actualisée du marché de
l'Internet français, compilée au moyen de
différentes sources (ARCEP, AFA, AFORM) :
http://www.evertest.com/FR__l_internet_en_france_5.html
Les figures représentent successivement les parts de marché
des technologies d'accès (bas débit, ADSL, câble),
puis celles des fournisseurs d'accès haut débit
(ADSL+câble, ADSL seul, câble seul).
Cette société propose des services de supervision de sites
Web, basés sur des tests automatisés à partir d'un
panel d'internautes virtuels conformément au marché
français.
Le site TooSurToo présente un graphique de l'évolution
des tarifs des accès ADSL depuis 1999 :
http://offres-adsl.toosurtoo.com/indices/evolution-prix.html
Les tarifs représentés sont ceux de la meilleure offre
existante pour des accès 512 Kbps. Le tableau en-dessous indique,
trimestre par trimestre, quel FAI proposait cette meilleure offre. Les
offres 512 Kbps ont pratiquement disparu aujourd'hui au profit de
débits plus élevés.
|
Les statistiques sur le nombre d'internautes s'obtiennent
généralement au moyen de sondages, visant à
déterminer le nombre d'individus ayant un certain âge
minimum, et ayant accédé à Internet au cours des
derniers mois. L'âge minimum et la durée varient selon les
études, qui peuvent donc fournir des résultats
différents. D'où la citation anglaise parfois citée
: "There are three types of lies - lies, damn lies, and
statistics".
D'autre part, les statistiques sur le nombre d'internautes
diffèrent de celles sur les accès Internet. En effet, un
accès Internet dans un foyer peut être utilisé par
plusieurs personnes, de même que certaines personnes peuvent
accéder à Internet sur leur lieu de travail, dans un
cybercafé ou ailleurs.
Le site "Internet World Stats" regroupe un ensemble de statistiques
sur l'usage d'Internet dans les différents pays du monde, obtenues
de différentes sources (Nielsen//NetRatings, ITU, Computer
Industry Almanac, CIA Fact Book, NIC locaux, FAI locaux...).
Cette page intitulée "The Big Picture" présente les
statistiques par continent :
http://www.internetworldstats.com/stats.htm
Le tableau indique le nombre d'internautes par région du monde
avec son taux de croissance, ainsi que le taux de
pénétration par rapport à la population.
Cliquer sur une région pour avoir les statistiques par pays de
cette région.
Cliquer ensuite sur un pays pour avoir les détails correspondants
(population, superficie, capitale, PNB par habitant, nombre d'internautes
et pénétration), ainsi qu'un lien vers une carte. Le nombre
d'abonnés haut débit et le nombre de FAI sont
également indiqués, si ces informations sont disponibles.
Enfin, la source et la date des différentes informations sont
précisées.
Ce site présente aussi quelques classements :
Voici également l'évolution depuis 1995 du nombre
d'internautes dans le monde et du taux de pénétration
mondial :
http://www.internetworldstats.com/emarketing.htm#stats
De manière analogue, le site "ClickZ Stats" compile
différentes estimations, pays par pays, sur cette page
intitulée "Population Explosion!" :
http://www.clickz.com/stats/web_worldwide/article.php/151151
Le tableau présente, pour chaque pays, la population, le nombre
d'internautes, le nombre d'internautes actifs et le nombre de
fournisseurs d'accès Internet, obtenus par différentes
sources (statistiques de Nielsen//NetRatings et de "Computer Industry
Almanac", chiffres de la CIA).
Enfin, la société NUA a fourni des statistiques
similaires jusqu'en septembre 2002. La page intitulée "How Many
Online?" présente l'usage d'Internet par région du monde
à cette date :
http://www.nua.ie/surveys/how_many_online/index.html
Cliquer sur les liens pour obtenir l'évolution au cours des ans de
l'usage d'Internet dans chacun des pays (nombre d'internautes et taux de
pénétration).
La société "Global Reach" fournit un ensemble de
statistiques sur les langues parlées par les internautes.
Cette figure synthétique représente la distribution des
internautes selon leur langue, pour les principales :
http://global-reach.biz/globstats/chart.gif
Les détails sur l'ensemble des langues recensées peuvent
être obtenus dans ce tableau :
http://www.glreach.com/globstats/
Les colonnes indiquent, pour chaque langue, le nombre d'internautes
concernés (en millions), le pourcentage des internautes qui
parlent cette langue, la population totale qui parle cette langue (en
millions), le PNB correspondant (en millions de $), le pourcentage de
l'économie mondiale correspondant, le PNB par personne (en
milliers de $), et le nombre de stations (hosts) correspondant aux pays
parlant la langue. Observer la similitude des pourcentages concernant la
langue et l'économie...
La matrice complète pays/langage peut être obtenue ici :
http://global-reach.biz/globstats/details.html
Enfin, voici l'évolution des internautes non anglophones depuis
1996 : http://global-reach.biz/globstats/evol.gif
Le site "Internet World Stats" présente un classement des
langues les plus utilisées par les internautes :
http://www.internetworldstats.com/stats7.htm
Les colonnes indiquent, pour chaque langue, le nombre d'internautes
parlant cette langue, la pénétration d'Internet dans la
population concernée, la population totale parlant cette langue,
et enfin le pourcentage des internautes dans le monde qui parlent cette
langue.
Voici les statistiques mensuelles de Nielsen//NetRatings sur l'usage d'Internet :
Les données concernent le nombre mensuel de connexions Internet, de pages Web visitées, le temps passé en surf, le temps de lecture de chaque page, etc.
Cette étude de XiTi Monitor donne également un certain
nombre d'informations sur les habitudes de navigation des internautes
:
http://www.xitimonitor.com/etudes/interet3.asp
L'étude a porté sur un échantillon de 2 000 sites
Web observés sur une année entière 2004/2005. Les
figures représentent les horaires de surf (globalement et par jour
de la semaine), les parts de visites par jour de la semaine, ainsi que la
durée de visite et le nombre de pages vues par jour de la
semaine.
Observer le pic de connexion de 18 h, et le jour le plus long en terme de
navigation Web : le lundi.
Cette étude réalisée par XiTi Monitor en juin
2005 présente le taux d'utilisation d'Internet de chaque
région française, rapporté au nombre d'habitants
:
http://www.xitimonitor.com/etudes/equipement9.asp?xtor=6
Comme on peut le constater, elle réserve quelques
surprises...
|
Le site FixedOrbit fournit un classement des opérateurs
mondiaux par nombre d'adresses IP contrôlées et par nombre
de peerings, ainsi qu'un classement des pays par adresses IP
contrôlées :
http://www.fixedorbit.com/stats.htm
Cliquer sur les liens "ASN" ou "description" pour avoir plus
d'informations sur chaque société. Quelle entité
possède le plus d'adresses IP ?
On remarquera que cette entité ne fait pas partie des
sociétés les plus connectées (et pour
cause...).
Quel pourcentage des adresses IPv4 est-il alloué aux
États-Unis ? À la France ?
Le site "Whois Source" donne des statistiques sur la distribution des
adresses IPv4 entre les différents pays du monde :
http://www.whois.sc/internet-statistics/country-ip-counts.html?s=total&o=d
(pays classés par nombre d'adresses décroissant)
Cliquer sur le lien "Country" pour obtenir la même liste
classée par ordre alphabétique des pays.
Y a-t-il plus d'adresses rattachées à l'Afghanistan ou
à l'Irak ?
Les données officielles d'allocation des adresses IP aux
différents pays peuvent être obtenues sous un format brut,
sur les serveurs FTP des différents registres continentaux
d'adresses :
Ces fichiers précisent les allocations d'adresses IPv4, IPv6 et
de numéros de système autonome (ASN) aux différents
pays du monde.
Les lignes correspondant aux adresses IPv4 indiquent le pays recevant
l'allocation (représenté par son code ISO à 2
caractères), la plage d'adresses allouée par le registre
(adresse de début et nombre d'adresses), et la date d'allocation
(année-mois-jour).
Les lignes correspondant aux adresses IPv6 contiennent un préfixe
(notation CIDR) au lieu du nombre d'adresses qui serait exorbitant.
Les lignes correspondant aux numéros de système autonome
contiennent la plage de numéros alloués (premier
numéro d'AS et nombre d'AS successifs), en général
constituée d'un numéro unique.
Voici une étude fascinante de l'association CAIDA sur la
fracture numérique mondiale :
http://www.caida.org/analysis/geopolitical/bgp2country/
La figure représente la répartition entre les
régions du monde de différentes ressources (population,
PIB, adresses IPv4 et IPv6, fournisseurs d'accès Internet et
opérateurs de backbones...). Les données utilisées
datent de 2001.
Cliquer sur l'image pour avoir plus de détails et comprendre le
schéma (une ligne par ressource, une couleur par continent).
Revenir à la page précédente pour avoir une vue
d'ensemble, et comparer en particulier les lignes 1 (population), 5
(adresses IPv4) et la dernière ligne (adresses IPv6).
Que remarque-t-on entre IPv4 et IPv6 ?
Le RIPE NCC maintient une page de statistiques concernant l'allocation
des adresses IPv6 par les registres continentaux d'adresses (APNIC, ARIN,
LACNIC et RIPE NCC) :
http://www.ripe.net/rs/ipv6/stats/
Les figures représentent la répartition des préfixes
IPv6 alloués, en nombre de préfixes puis en nombre
d'adresses. La liste en bas de page permet d'observer les derniers
préfixes IPv6 alloués (pays, FAI, plage d'adresses et date
d'allocation).
Noter que la suprématie n'est plus nord-américaine dans le
cas d'IPv6 !
|
Le site DomainesInfo fournit tous les semestres un hit-parade des noms
de domaine enregistrés dans le monde, basé sur les
informations fournies par les registres d'extensions (classement
général, extensions génériques et
nationales). Voici le dernier en date (février 2007) :
http://www.domainesinfo.fr/actualite/441/statistiques-mondiales-des-noms-de-domaine.php
Attention : les statistiques fournies par le site
"www.domainworldwide.com" parfois cité ne sont plus mises à
jour depuis des années, bien que ce site affiche la date du jour
en haut de page...
L'ISC (Internet Systems Consortium) produit tous les 6 mois, depuis
1987, une étude sur le nombre total de stations, et leur
distribution entre les différentes extensions (Internet Domain
Survey). L'étude consiste, de manière simplifiée,
à interroger les serveurs DNS pour savoir si un nom de domaine est
associé à chaque adresse IP possible. Des optimisations
permettent cependant de ne pas effectuer cette recherche sur les 4,3
milliards d'adresses potentielles.
Voici les résultats de janvier 2005 (colonne "Hosts") :
http://www.isc.org/index.pl?/ops/ds/reports/2005-01/dist-bynum.php
Combien de stations contient .ZR (Zaïre) ? Pourquoi ?
Noter que le classement par le nombre de stations est très
différent du classement par le nombre de noms de domaine vu
précédemment. Il n'est pas vraiment étonnant que le
.COM (sociétés commerciales) ait le record en nombre de
noms (noms commerciaux, marques...), et le .NET (opérateurs) en
nombre de stations (routeurs, serveurs...).
Graphe de RegistrarStats concernant les principaux domaines
génériques :
http://www.registrarstats.com/zonefile_enlarged.asp
Attention aux unités (échelle de gauche en millions de noms
pour .COM, échelle de droite en milliers de noms pour
.NET/.ORG/.INFO/.BIZ/.US).
Observer l'envolée du .INFO à l'automne 2004 suite à
une opération promotionnelle de son registre Afilias
(enregistrement gratuit de septembre à décembre 2004 pour
les registrars, dans la limite de 25 noms par propriétaire).
Graphe sur le site de l'ISC :
http://www.isc.org/ops/ds/hosts.png
Le détail des chiffres issus des études de l'ISC :
http://www.isc.org/index.pl?/ops/ds/host-count-history.php
Le "Top 100" des noms de station par l'ISC :
http://www.isc.org/index.pl?/ops/ds/reports/2005-01/firstnames.phpp
Ce même classement en juillet 1995 :
http://www.isc.org/ops/ds/archive-data/9507.firstnames.gz
Observer la disparition des planètes...
La taille maximale des noms de domaine est en général de
67 caractères en incluant le suffixe (elle était de 26
caractères jusqu'en 1999). La réservation de noms
très longs est donc possible.
Voici un site qui revendique d'être le plus long nom de domaine en
un seul mot (sans tiret) :
http://www.llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch.com/
(62 caractères)
Comme expliqué sur le site, il s'agit d'un village du pays de
Galles, qui possède le plus long nom de localité du
Royaume-Uni et le troisième plus long nom de localité dans
le monde. Voici quelques informations sur le village, obtenues dans
l'encyclopédie libre Wikipédia (photo, signification du nom
et prononciation) :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch
Il y a ensuite eu surenchère avec d'autres sites, tel que celui-ci
:
http://www.llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwyll-llantysiliogogogoch.com/
(64 caractères : cherchez les différences avec le
précédent...)
Ce site propose d'envoyer un mail à un ami à partir du
"plus long nom de domaine du monde".
Mais voici le record (ou l'un des records) :
http://www.gooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooogle.com/
(67 caractères : le maximum autorisé !)
Noooöööooo coooöööooomment...
Quant aux plus petits noms de domaine, la plupart des registres
imposent des noms d'au moins 2 ou 3 caractères. Il existe ainsi
très peu de noms à 1 caractère,
déposés avant ces limitations, et cités sur cette
page :
http://www.llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch.com/very-short-names.htm
Regardez ce qui se cache derrière le Z.
Le nombre total de domaines enregistrés sous .FR et son
évolution dans le temps :
http://www.afnic.fr/actu/stats/evolution
Observer la conséquence de l'ouverture de la zone .FR le 11 mai
2004...
Voici d'ailleurs les statistiques précises au moment de
l'ouverture, avec les noms les plus demandés :
http://www.afnic.fr/actu/nouvelles/nommage/CP20040525
(tableau en bas de page)
Le détail de leur répartition entre les sous-domaines
publics et les sous-domaines sectoriels :
http://www.afnic.fr/actu/stats/domaines
http://www.afnic.fr/actu/stats/domaines/autres
De l'impact des offres promotionnelles temporaires sur les
statistiques... (l'enregistrement sous .NOM.FR était gratuit du
1er au 31 décembre 2000) :
http://www.afnic.fr/actu/stats/domaines/courbe/nom.fr
Voici les statistiques de l'ICANN concernant les litiges
traités selon la procédure UDRP :
http://www.icann.org/udrp/proceedings-stat.htm
Les procédures sont classées en 4 catégories :
procédures suspendues ou en cours, procédures ayant fait
l'objet d'une décision, procédures n'ayant pas fait l'objet
d'une décision, et procédures à renouveler. Les
chiffres représentent le nombre de procédures et le nombre
de noms de domaine (une procédure pouvant impliquer plusieurs
noms).
Parmi les procédures ayant fait l'objet d'une décision,
quelle est la décision majoritaire : transfert ou radiation du nom
(en faveur du requérant), ou décision en faveur du
défendeur ?
Le site d'information DomainesInfo publie également des
"chiffres clés de l'UDRP" en date de décembre 2004 :
http://www.domaines.info/article.php?art_id=519
Ces chiffres indiquent :
L'OMPI fournit également des statistiques concernant les
litiges qu'elle traite elle-même :
http://arbiter.wipo.int/domains/statistics/cumulative/results-fr.html
Les tableaux indiquent le nombre de plaintes déposées par
année (avec leur répartition entre domaines
génériques et domaines par codes de pays), et les
décisions prises cumulées.
La majorité des litiges provient-elle des gTLD ou des ccTLD ?
L'OMPI fournit enfin la répartition géographique des parties (plaignant ou défendeur) :
Deviner quel est le pays le plus impliqué dans les litiges sur
les noms de domaine ?
|
Statistiques de l'ISC (Internet Systems Consortium), organisme qui
développe le logiciel BIND :
http://www.isc.org/index.pl?/ops/ds/reports/2005-01/dist-servsoft.php
|
Le site "FalkoTimme.com" effectue des études
régulières concernant les parts de marché des
serveurs de mail :
http://www.falkotimme.com/projects/survey_smtp.php?id=170
Choisir la dernière enquête disponible. Observer les
résultats globaux, puis sur la France seule (choisir le pays en
haut de la page).
L'outil scanne un ensemble prédéfini d'adresses IP
appartenant à des sociétés d'hébergement, de
manière à déterminer si un serveur de mail se trouve
à chacune de ces adresses et quel logiciel il utilise.
L'échantillon d'adresses IP n'est pas nécessairement
représentatif.
|
La société Netcraft produit tous les mois, depuis 1995,
une étude nommée "Web Server Survey". Cette étude
permet entre autre de suivre l'évolution des parts de
marché des différents logiciels de serveurs Web :
http://news.netcraft.com/archives/web_server_survey.html
La figure du bas ("Market Share for Top Servers Across All Domains")
représente les parts de marché des principaux
éditeurs de serveurs Web : Apache, Microsoft, Sun, Zeus...
Noter la position largement dominante du logiciel Open Source
Apache.
HTTPd est le serveur historique développé par le NCSA
("National Center for Supercomputing Applications") à
l'Université de l'Illinois. Le NCSA est également à
l'origine du premier navigateur Web de l'histoire, Mosaic. Par ailleurs,
la première version d'Apache était basée sur le code
source de HTTPd, en y incluant un ensemble de patchs (d'où le nom
Apache d'après la légende...).
La page suivante donne le détail, mois par mois, de l'ensemble
des logiciels utilisés par les sites Web :
http://www.netcraft.com/Survey/Reports/
Cliquer sur les liens correspondant au mois en cours pour afficher les
parts de marché pour les sites toutes extensions confondues (lien
"Index"), ou pour des extensions spécifiques,
génériques ou nationales (liens "com" et suivants).
Le portail W3 Schools
présente des statistiques mois par mois sur les clients Web
(navigateur, OS, résolution d'écran, nombre de couleurs,
activation de JavaScript) :
http://www.w3schools.com/browsers/browsers_stats.asp
Noter la position largement dominante du navigateur Internet Explorer et
du système d'exploitation Windows, mais aussi la montée en
puissance du logiciel Open Source "Mozilla / Firefox".
Les chiffres clés publiés tous les mois par La revue du
référencement
(@position/Médiamétrie-eStat) fournissent également
une estimation de l'usage des navigateurs Web et des systèmes
d'exploitation, sur un panel de sites audités :
http://www.revue-referencement.com/
(colonne à droite)
Le site XiTi
Monitor publie régulièrement les pourcentages
d'utilisation de Firefox en Europe :
http://www.xitimonitor.com/etudes/equipement13.asp
(janvier 2006)
Cette étude précise la pénétration de Firefox
par continent, ainsi que l'influence du lieu d'utilisation sur ces
chiffres (bureau / domicile).
L'étude mensuelle "Web Server Survey" de la
société Netcraft permet de suivre également
l'évolution du nombre de sites Web dans le monde :
http://news.netcraft.com/archives/web_server_survey.html
La figure du haut ("Total Sites Across All Domains") représente
cette évolution en distinguant le nombre total de sites
observés (courbe "Hostnames") et le nombre de sites actifs (courbe
"Active"). Les sites dits "actifs" contiennent un contenu
spécifique. Les sites dits "inactifs" correspondent, soit à
des redirections (par exemple "www.netcraft.net" redirige vers
"www.netcraft.com"), soit à des pages prototypes (templates)
affichées par les hébergeurs Web dans l'attente d'un
contenu spécifique de leurs clients.
Noter la proportion importante de sites inactifs.
Le top 100 des sites en français selon la société
Alexa :
http://www.alexa.com/site/ds/top_sites?ts_mode=lang&lang=fr
Pour un site donné, cliquer sur "Site info", puis sur "See Traffic
Details" pour obtenir les statistiques de ce site (estimation du trafic
journalier, pages les plus visitées, nombre de visiteurs et nombre
de pages visualisées par chacun).
Également disponible dans de nombreuses autres langues, ainsi
qu'un classement des sites Web par thème (cliquer sur l'un des
liens à gauche).
Ces statistiques sont obtenues par observation du comportement des
internautes qui ont téléchargé la barre d'outils
Alexa dans leur navigateur Web.
L'estimation était de 3 milliards de pages Web en 2002
(résultats de plusieurs études citées sur le site
Abondance.com) :
http://docs.abondance.com/question10.html
On peut également observer le nombre de pages indexées par
les moteurs de recherche.
Google a longtemps affiché une estimation en temps réel en
bas de sa page d'accueil, avant d'arrêter en septembre 2005 avec 8
168 684 336 pages.
Voici la liste des valeurs affichées de 2000 à 2004,
compilée par le blog Zorgloob :
http://www.zorgloob.com/2004/11/8-058-044-651-pages-indexes-par-google.asp
Par ailleurs, Yahoo! annonçait en août 2005 un index de 20
milliards de pages Web.
Ces chiffres ne mesurent cependant que le "Web de surface",
indexé par les moteurs de recherche. Quant au "Web de profondeur"
auquel les moteurs de recherche ne peuvent accéder automatiquement
(contenu dynamique provenant de bases de données, contenu
protégé par mot de passe, etc.), il serait environ 500 fois
plus gros, d'après les estimations de la société
BrightPlanet...
http://www.brightplanet.com/deepcontent/deep_web_faq.asp#DeepWebSize
L'étude "How Much Information? 2003" du SIMS (School of
Information Management and Systems, University of California at Berkeley)
donne une estimation de la taille du Web de surface et de profondeur,
ainsi que des E-mails et de la messagerie instantanée :
http://www.sims.berkeley.edu/research/projects/how-much-info-2003/internet.htm
La même étude décrit la composition du Web de surface
selon le type de document (HTML, images, PDF, scripts...) :
http://www.sims.berkeley.edu/research/projects/how-much-info-2003/images/web_by_size.jpg
Voici une classification par langage du contenu du Web (statistique
2001 de Vilaweb.com, portant sur les 313 milliards de pages Web
estimées à l'époque) :
http://www.translate-to-success.com/online-language-web-site-content.html
Plusieurs sociétés d'audit de sites Web proposent des statistiques concernant l'usage des moteurs de recherche, basées sur les mesures d'audience d'un panel de sites audités.
La société Abondance présente un baromètre
mensuel des moteurs de recherche, obtenu au moyen d'un panel de sites
audités par Weborama (baromètre Weborama - Takezo/Brioude)
:
http://www.barometre-referencement.com/
(panel global et panel professionnel)
Voici également le profil des internautes sur chaque moteur de
recherche (par sexe, CSP, âge) :
http://www.barometre-referencement.com/profil_des_internautes.htm
Le site "Secrets 2 Moteurs" présente le graphique de
l'évolution des parts de marché des moteurs de recherche
sur un an, compilées au moyen des mesures d'audience de la
société XiTi (baromètre XiTi - 1ère Position)
:
http://www.secrets2moteurs.com/barometre.html
Cliquer sur le dernier mois disponible (le premier de la liste).
La "Revue du référencement" publie tous les mois un
panorama du Web français appelé "chiffres clés",
à partir de sites audités par eStat (étude de
@position/Médiamétrie-eStat) :
http://www.revue-referencement.com/chiffres_archives.htm
Cliquer sur le dernier mois disponible (le premier de la liste).
L'étude indique les parts de marché des différents
moteurs de recherche et annuaires, ainsi que la répartition
moyenne du trafic par type d'accès (accès directs, liens
externes et moteurs de recherche).
Certains moteurs de recherche fournissent la liste des mots-clés les plus utilisés par les internautes, sur différentes périodes de temps, et parfois classés par thèmes. Voici quelques exemples dans le cas des moteurs français :
Dans le cas des moteurs internationaux :
Enfin, certains moteurs fournissent également des listes de mots-clés de recherche en temps réel :
Noter qu'à quelques exceptions près, ces listes sont
filtrées (termes pornographiques, termes génériques,
noms de sociétés...).
Quant au terme de recherche "sexe", il serait apparemment moins
fréquent que ce que l'on dit, les recherches de contenus "adultes"
utilisant en général des requêtes plus
ciblées.
Par ailleurs, le portail "LesMoteursDeRecherche.com" permet d'observer
l'évolution dans le temps des termes de recherche, puisqu'il
propose le "Top 200" entre 2000 et 2004 :
http://www.lesmoteursderecherche.com/prime500.htm
Remarquer par exemple la remontée progressive dans les charts des
termes "google" et "ebay".
|
Contact : Patrick
Maigron Dernière mise à jour : 2007-12-05 |
|